Peux-tu te présenter présenter et nous parler de ton parcours ?
Je m’appelle Emilie, je travaille dans le secteur des services à la personne depuis 14 ans. J’ai tout d’abord travaillé sur le terrain en agence puis, depuis 2 ans et demi au sein du siège pour les agences Azaé et Domaliance. J’occupe aujourd’hui le poste de Chargée de Mission Dépendance et je prends en charge le rôle de Référente Bientraitance, Éthique et Droits.
Peux-tu expliquer en quoi consiste ton rôle de Référente Bientraitance Ethique et Droits dans l’entreprise ?
Mon rôle consiste à accompagner les agences dans le signalement de cas de maltraitance aux autorités compétentes. Par exemple, lorsqu’une auxiliaire de vie signale un cas à une agence et que celle-ci ne sait pas vers qui se tourner, je les aide à signaler la situation au Conseil Départemental ou à une autre autorité compétente.
Je mène également des actions de sensibilisation pour les encadrants, en animant des ateliers tels que ceux sur les recommandations de bonnes pratiques professionnelles (RBPP) et la sensibilisation à la bientraitance.
En outre, j’analyse les informations remontées pour proposer des solutions visant à promouvoir la bientraitance au sein de notre réseau, comme l’organisation de la Journée de sensibilisation à la maltraitance des personnes âgées.
En quoi consiste la Journée de sensibilisation à la maltraitance des personnes âgées ?
La Journée mondiale de sensibilisation à la maltraitance des personnes âgées a pour objectif de mettre en lumière les abus et la négligence dont peuvent être victimes les personnes âgées. Cet événement est particulièrement crucial dans le secteur des services à la personne car 73 % des cas de maltraitance se produisent à domicile.
Nos intervenants jouent donc un rôle clé dans la détection et la prévention de ces abus car ils sont en première ligne pour identifier et signaler les situations préoccupantes.
Il est donc essentiel de les sensibiliser et de les former pour garantir la sécurité et le bien-être des personnes âgées.
Quels sont les signes auxquels il faut être attentif pour détecter la maltraitance chez les personnes âgées ?
Pour détecter la maltraitance chez les personnes âgées, il est important d’être attentif à plusieurs signes.
Les changements d’attitude tels qu’une perte d’appétit, des angoisses inhabituelles, ou une perte de motivation, peuvent être des indicateurs. Des signes physiques comme des griffures, hématomes, ou d’autres marques d’origine douteuse peuvent également être révélateurs. Enfin, un manque de suivi médical ou une inadéquation du logement sont d’autres éléments qui peuvent nous alerter.
Quels conseils donneriez-vous pour agir en cas de suspicion de maltraitance ?
Ne pas rester seul ou démuni face à cette situation. Il existe un devoir légal de signaler chaque suspicion de maltraitance. Vous pouvez appeler le 3977, le numéro national dédié à la lutte contre les maltraitances envers les personnes âgées et les adultes en situation de handicap.
Comment pouvons-nous mieux soutenir nos aînés et garantir leur bien-être au quotidien ?
Il s’agit de voir la bientraitance non pas seulement comme l’opposé de la maltraitance, mais comme une démarche globale d’accompagnement. Cette approche repose sur la communication, le respect des choix, la dignité et la singularité de chaque personne. Nous devons adapter notre soutien aux besoins et désirs de nos aînés, en plaçant leur bien-être au centre de notre accompagnement.
Peux-tu te présenter présenter et nous parler de ton parcours ?
Je m’appelle Emilie, je travaille dans le secteur des services à la personne depuis 14 ans. J’ai tout d’abord travaillé sur le terrain en agence puis, depuis 2 ans et demi au sein du siège pour les agences Azaé et Domaliance. J’occupe aujourd’hui le poste de Chargée de Mission Dépendance et je prends en charge le rôle de Référente Bientraitance, Éthique et Droits.
Peux-tu expliquer en quoi consiste ton rôle de Référente Bientraitance Ethique et Droits dans l’entreprise ?
Mon rôle consiste à accompagner les agences dans le signalement de cas de maltraitance aux autorités compétentes. Par exemple, lorsqu’une auxiliaire de vie signale un cas à une agence et que celle-ci ne sait pas vers qui se tourner, je les aide à signaler la situation au Conseil Départemental ou à une autre autorité compétente.
Je mène également des actions de sensibilisation pour les encadrants, en animant des ateliers tels que ceux sur les recommandations de bonnes pratiques professionnelles (RBPP) et la sensibilisation à la bientraitance.
En outre, j’analyse les informations remontées pour proposer des solutions visant à promouvoir la bientraitance au sein de notre réseau, comme l’organisation de la Journée de sensibilisation à la maltraitance des personnes âgées.
En quoi consiste la Journée de sensibilisation à la maltraitance des personnes âgées ?
La Journée mondiale de sensibilisation à la maltraitance des personnes âgées a pour objectif de mettre en lumière les abus et la négligence dont peuvent être victimes les personnes âgées. Cet événement est particulièrement crucial dans le secteur des services à la personne car 73 % des cas de maltraitance se produisent à domicile.
Nos intervenants jouent donc un rôle clé dans la détection et la prévention de ces abus car ils sont en première ligne pour identifier et signaler les situations préoccupantes.
Il est donc essentiel de les sensibiliser et de les former pour garantir la sécurité et le bien-être des personnes âgées.
Quels sont les signes auxquels il faut être attentif pour détecter la maltraitance chez les personnes âgées ?
Pour détecter la maltraitance chez les personnes âgées, il est important d’être attentif à plusieurs signes.
Les changements d’attitude tels qu’une perte d’appétit, des angoisses inhabituelles, ou une perte de motivation, peuvent être des indicateurs. Des signes physiques comme des griffures, hématomes, ou d’autres marques d’origine douteuse peuvent également être révélateurs. Enfin, un manque de suivi médical ou une inadéquation du logement sont d’autres éléments qui peuvent nous alerter.
Quels conseils donneriez-vous pour agir en cas de suspicion de maltraitance ?
Ne pas rester seul ou démuni face à cette situation. Il existe un devoir légal de signaler chaque suspicion de maltraitance. Vous pouvez appeler le 3977, le numéro national dédié à la lutte contre les maltraitances envers les personnes âgées et les adultes en situation de handicap.
Comment pouvons-nous mieux soutenir nos aînés et garantir leur bien-être au quotidien ?
Il s’agit de voir la bientraitance non pas seulement comme l’opposé de la maltraitance, mais comme une démarche globale d’accompagnement. Cette approche repose sur la communication, le respect des choix, la dignité et la singularité de chaque personne. Nous devons adapter notre soutien aux besoins et désirs de nos aînés, en plaçant leur bien-être au centre de notre accompagnement.