Rencontre avec Nadia, auxiliaire de vie passionnée qui nous partage son parcours, son quotidien et son engagement auprès des bénéficiaires.
Pouvez-vous nous parler de votre parcours d’auxiliaire de vie ?
Dès le lycée, j’ai commencé à travailler en faisant du babysitting et en aidant une dame veuve, ce qui me permettait d’avoir un peu d’argent de poche. L’été, j’ai suivi une formation BAFA, en section handicap, pour être animatrice. Ensuite, j’ai travaillé comme vendeuse en prêt-à-porter, puis responsable d’une boutique. J’ai poursuivi dans l’administratif en tant qu’opératrice de saisie avant d’évoluer vers le secteur international dans le domaine des transports, du service après-vente et du recouvrement.
Qu’est-ce qui vous a attiré dans le secteur de l’aide à domicile ?
Probablement mon histoire personnelle… Ma fille, après un grave accident, a passé six mois dans le coma et a gardé de légères séquelles physiques. Cela m’a rendue plus sensible à l’accompagnement et au soutien des personnes en situation de fragilité.
À quoi ressemble une journée type d’auxiliaire de vie ?
C’est du cas par cas ! Chaque bénéficiaire a ses propres besoins. Le plus important, c’est l’organisation : établir les priorités, répondre aux besoins des bénéficiaires et transmettre les informations essentielles dans le dossier de suivi.
Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans ce métier ?
Le relationnel, sans hésitation ! Mes bénéficiaires me racontent leur vie, et moi, je suis là pour les aider, aussi bien concrètement que moralement. Être à leur écoute, c’est une façon d’égayer leur journée.
À quoi ressemble une journée type d’auxiliaire de vie ?
Même si aucune journée ne se ressemble, le matin est souvent dédié aux toilettes et soins des personnes âgées. On échange beaucoup avec elles, elles nous racontent leur quotidien, leurs petites joies et soucis. Même pour le ménage, chaque journée est différente. Parfois, on prévoit de faire le ménage, mais la personne préfère qu’on fasse une balade dans le jardin, alors on s’adapte. Ma priorité c’est leur bien-être.
Avez-vous une anecdote amusante ou un souvenir touchant à partager ?
Oui, une dame qui avait huit chats magnifiques ! Elle m’a captivée par son savoir et son intelligence… Je me suis tellement laissée emporter par la discussion que je n’ai pas vu le temps passer !
Quelle est la qualité qui vous aide le plus dans votre quotidien ?
Mon sens du contact ! Je suis méditerranéenne, j’aime échanger et surtout, j’ai le souci du travail bien accompli.
Avez-vous une astuce ménage à nous transmettre ?
Une dame de 80 ans, ancienne institutrice, avait une maison impeccable… pour son ménage, elle n’utilisait que du vinaigre blanc ! Depuis, j’ai toujours deux ou trois bouteilles chez moi.
Quelles sont vos passions en dehors du travail ?
La piscine avec ma fille et chiner dans les brocantes au printemps. Et en hiver, cocooner avec mon chat à la maison !
Enfin, pouvez-vous résumer votre expérience chez Domaliance en trois mots ?
Sérénité, qualité, longévité.

Rencontre avec Nadia, auxiliaire de vie passionnée qui nous partage son parcours, son quotidien et son engagement auprès des bénéficiaires.
Pouvez-vous nous parler de votre parcours d’auxiliaire de vie ?
Dès le lycée, j’ai commencé à travailler en faisant du babysitting et en aidant une dame veuve, ce qui me permettait d’avoir un peu d’argent de poche. L’été, j’ai suivi une formation BAFA, en section handicap, pour être animatrice. Ensuite, j’ai travaillé comme vendeuse en prêt-à-porter, puis responsable d’une boutique. J’ai poursuivi dans l’administratif en tant qu’opératrice de saisie avant d’évoluer vers le secteur international dans le domaine des transports, du service après-vente et du recouvrement.
Qu’est-ce qui vous a attiré dans le secteur de l’aide à domicile ?
Probablement mon histoire personnelle… Ma fille, après un grave accident, a passé six mois dans le coma et a gardé de légères séquelles physiques. Cela m’a rendue plus sensible à l’accompagnement et au soutien des personnes en situation de fragilité.
À quoi ressemble une journée type d’auxiliaire de vie ?
C’est du cas par cas ! Chaque bénéficiaire a ses propres besoins. Le plus important, c’est l’organisation : établir les priorités, répondre aux besoins des bénéficiaires et transmettre les informations essentielles dans le dossier de suivi.
Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans ce métier ?
Le relationnel, sans hésitation ! Mes bénéficiaires me racontent leur vie, et moi, je suis là pour les aider, aussi bien concrètement que moralement. Être à leur écoute, c’est une façon d’égayer leur journée.
À quoi ressemble une journée type d’auxiliaire de vie ?
Même si aucune journée ne se ressemble, le matin est souvent dédié aux toilettes et soins des personnes âgées. On échange beaucoup avec elles, elles nous racontent leur quotidien, leurs petites joies et soucis. Même pour le ménage, chaque journée est différente. Parfois, on prévoit de faire le ménage, mais la personne préfère qu’on fasse une balade dans le jardin, alors on s’adapte. Ma priorité c’est leur bien-être.
Avez-vous une anecdote amusante ou un souvenir touchant à partager ?
Oui, une dame qui avait huit chats magnifiques ! Elle m’a captivée par son savoir et son intelligence… Je me suis tellement laissée emporter par la discussion que je n’ai pas vu le temps passer !
Quelle est la qualité qui vous aide le plus dans votre quotidien ?
Mon sens du contact ! Je suis méditerranéenne, j’aime échanger et surtout, j’ai le souci du travail bien accompli.
Avez-vous une astuce ménage à nous transmettre ?
Une dame de 80 ans, ancienne institutrice, avait une maison impeccable… pour son ménage, elle n’utilisait que du vinaigre blanc ! Depuis, j’ai toujours deux ou trois bouteilles chez moi.
Quelles sont vos passions en dehors du travail ?
La piscine avec ma fille et chiner dans les brocantes au printemps. Et en hiver, cocooner avec mon chat à la maison !
Enfin, pouvez-vous résumer votre expérience chez Domaliance en trois mots ?
Sérénité, qualité, longévité.