Un métier humain et gratifiant
Robert, 59 ans, travaille dans le social depuis 5 ans en tant qu’Auxiliaire de vie, après avoir passé la majeure partie de sa carrière dans l’hôtellerie.
Il a une fierté en particulier depuis son arrivée dans l’agence Azaé Nice : une cliente, jugée difficile, « très exigeante, à la limite de l’impolitesse » par ses collègues, lui a dit un « grand merci ». Il explique que c’est en comprenant ses besoins et sa personnalité, en faisant preuve d’empathie et surtout en n’abandonnant pas qu’il a réussi à créer un réel lien avec cette cliente. Il s’est senti utile et c’est ce qu’il apprécie pleinement dans son métier.
Affronter les difficultés
Robert s’adapte aux besoins et à la personnalité de chacun de ses bénéficiaires. Il doit établir une relation, la maintenir et la faire évoluer par rapport aux changements des besoins et de l’humeur de chacun d’eux.
Le métier peut parfois être éprouvant physiquement et moralement. Robert nous donne ses conseils :
• Être à l’écoute de ses collègues et clients
• Ne pas abandonner au premier problème
• Toujours se donner une seconde chance
• Décompresser en fin de journée
Etre auxiliaire de vie c’est gratifiant, important et passionnant.
Un métier humain et gratifiant
Robert, 59 ans, travaille dans le social depuis 5 ans en tant qu’Auxiliaire de vie, après avoir passé la majeure partie de sa carrière dans l’hôtellerie.
Il a une fierté en particulier depuis son arrivée dans l’agence Azaé Nice : une cliente, jugée difficile, « très exigeante, à la limite de l’impolitesse » par ses collègues, lui a dit un « grand merci ». Il explique que c’est en comprenant ses besoins et sa personnalité, en faisant preuve d’empathie et surtout en n’abandonnant pas qu’il a réussi à créer un réel lien avec cette cliente. Il s’est senti utile et c’est ce qu’il apprécie pleinement dans son métier.
Affronter les difficultés
Robert s’adapte aux besoins et à la personnalité de chacun de ses bénéficiaires. Il doit établir une relation, la maintenir et la faire évoluer par rapport aux changements des besoins et de l’humeur de chacun d’eux.
Le métier peut parfois être éprouvant physiquement et moralement. Robert nous donne ses conseils :
• Être à l’écoute de ses collègues et clients
• Ne pas abandonner au premier problème
• Toujours se donner une seconde chance
• Décompresser en fin de journée
Etre auxiliaire de vie c’est gratifiant, important et passionnant.